 | Comme au chevet d'un malade, on vient assister l'agonie d'un monde où l'on pensait pouvoir marcher, sans que le sol de nos certitudes ne vacille un jour en fissures et crevasses. Mais non, ce n'est pas une veillée funèbre lorsqu'on découvre impavide un continuum, l'évidente incommensurable harmonie du chaos. Il caresse nos fronts tourmentés, et par cette onction, nous entrons en ataraxie dans l'équilibre des contraires - “ car si le monde semble malade, alors je me dois de guérir “. |  | |