 | Qui, cheminant dans la quiétude glacée des forêts se croit solitaire, absorbé dans son rêve somnambule frôlant pourtant d'invisibles présences sous chacun de ses pas d'aveugle béent des cavités secrètes à ses oreilles sourdes tintent des sources d'éternel printemps où viennent s'abreuver les nymphes. |  | |